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Noël à chenonceau en 2013


@Gérard Chatenet 2007-2017 


 

 

Chenonceau fête Noël de la Saint Nicolas à l’Épiphanie, et propose aux enfants ainsi qu’à leurs parents une décoration florale unique dans chacune des pièces du château.


Sapins majestueux et bouquets raffinés ; tables opulentes dans les cuisines et grands feux dans les remarquables cheminées d’une demeure habitée… Une invitation à la grâce, à la douceur et à la beauté du lieu.

A la faveur de cet événement notre amie Isabelle, et son association "Art Fusion" nous avait organisé une superbe après-midi, au coeur de ce château.

Un site exceptionnel, une météo clémente (excepté en fin de soirée) et les treize Vénitien(ne)s, qui ont répondu 'présents', se sont promené(e)s toute l'après-midi, parmi des spectateurs surpris, mais intéressés, dans les couloirs et les pièces de ce superbe château.

Voila une virée qui restera dans les mémoires,  et qui appelle une suite.

Un grand bravo et un grand merci à toi Isabelle.

 



 

"Chateau de Chenonceau"  dans la ville de  "Chenonceaux"   

On écrit "Chenonceaux" pour la ville "Chenonceau" pour le château.
La différence d'orthographe s'expliquerait par une dame Dupin qui, propriétaire du château au moment de la Révolution francaise, aurait voulu, par cette suppression du "x" final, marquer sa différence.

      

       


 

Catherine Briconnet

 

 

 

 

 Le château de Chenonceau est édifié dans le lit du Cher, sur les piles d'un ancien moulin fortifié et du château fort racheté à la famille des Marques. Celui-ci fut rasé, à l'exception du donjon (la tour des Marques) et du puits qui le jouxte.

  Le château présente un corps de logis carré avec un vestibule central donnant sur quatre pièces de part et d'autre. Au rez-de-chaussée, il y a une chapelle, la "chambre de
Diane de Poitiers" et le "cabinet de travail de Catherine de Médicis". Au bout du vestibule, on accède à la galerie au-dessus du Cher. La galerie du rez-de-chaussée porte un dallage classique de damiers blancs et noirs. Le reste du rez-de-chaussée comprend la "chambre Francois Ier" et le "salon Louis XIV".

  L'escalier, à double volées droites, est accessible derrière une porte qui se situe au milieu du vestibule. Il permet d'accéder au vestibule
Catherine Briconnet au premier étage.

A nouveau quatre chambres, la "chambre de Catherine de Médicis", celle de César de Vendôme, et celle de Gabrielle d'Estrées (favorite de Henri IV). La dernière est la chambre dédiée aux filles et belles-filles de Catherine de Médicis, la "chambre des Cinq Reines :

  • Marie Stuart,
  • Marguerite de France dite la reine Margot,
  • Louise de Lorraine,
  • Elisabeth d'Autriche
  • Elisabeth de France.

  La "chambre de Louise de Lorraine", au second étage, porte le deuil de la femme d'Henri III, avec la couleur noire dominante du lambris, les peintures macabres, le prie-dieu et les décorations religieuses évoquant le deuil.

Diane de Poitiers

 

Un grand merci aux contributeurs du site Wikipédia pour ces précieux renseignements
 

Catherine de Médicis

 


Madame Dupin

 

 

 

 Toute l'Histoire de ce château explique pourquoi il a été surnommé le château des Dames


 Il a été bâti par Thomas Bohier, le secrétaire général des finances du Roi Francois 1er. Le corps de logis carré qui constitue le château originel a été construit entre 1513 et 1521. Bohier étant occupé par la guerre, c'est surtout sa femme, Catherine Briconnet, une tourangelle appartenant à une famille de grands financiers, qui dirigea les travaux et fit les choix architecturaux. C'est ainsi que, pour la première fois, les pièces ont été réparties de chaque côté d'un vestibule central, ce qui facilitait grandement le service. De même elle fit faire un l'escalier droit, plus pratique et mieux adapté aux réceptions que l'escalier à vis.

À la mort de Thomas Bohier,  Francois Ier confisque le domaine qui sera offert par Henri II à sa favorite
Diane de Poitiers. Celle-ci fit aménager un jardin sur la rive droite du Cher et confia à son architecte le soin de construire un pont reliant le château à la rive gauche afin d'y créer de nouveaux jardins et d'accéder à de plus grandes chasses.

À la disparition de Henri II, mortellement blessé lors d'un tournoi en 1559,
Catherine de Médicis, devenue régente, contraignit sa rivale Diane de Poitiers, à restituer Chenonceau à la Couronne et à accepter en échange le château de Chaumont-sur-Loire, dominant la Loire, entre Blois et Amboise. C'est Catherine de Médicis qui fera édifier sur le pont de Diane deux galeries superposées formant un espace de réception donnant ainsi au château son aspect actuel. Henri III y organisa des fêtes païennes «où les dames les plus belles et honnêtes de la cour, à moitié nues et cheveux épars, faisaient le service avec les filles de la reine».

Finalement, le fermier général Dupin acheta Chenonceau. Et sous la Révolution francaise c'est encore une femme, sa femme,
Louise Dupin qui sauve Chenonceau des accès anti-royalistes des sans-culottes. Femme d'esprit, amie de Rousseau et figure du siècle des Lumières, son tombeau est encore visible dans le parc du château.



 

Mais revenons à notre petite manifestation


Sous un beau soleil... pendant un très court moment.




Francoise et Philippe  

 Isabelle  

les orleanais  

Marie-Jeanne  

Nicole et Maurice  

Maryse et Pierre   

Suzel et Daniel  

Sylvette  

 

  

Et d'autres
images
de
cette
journée

 


Groupe
s, trios, duos

 

Merci à vous tous  pour votre patience et votre gentillesse.

 



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